François Lucas : clip cuisine, alors on y va gentiment.
On voit déjà l’aire de rotation tout est bien là c’est formidable.
L’esthétique : elle est mignonne, elle est belle, on en rêve tous chez soi.
Noémie Aubert : elle est magnifique, rouge et gris : c’est splendide.
François Lucas : alors les couleurs : le mobilier rouge ça contraste bien.
Le mural également gris doux.
Une déco formidable, un éclairage adapté.
On a envie d’en savoir plus, de l’essayer cette cuisine et de la tester.
Valérie, on te propose d’aller valider le confort d’usage de cette cuisine et avec Noémie on va te suivre.
Voilà ! 50cm l’assise du fauteuil, on rajoute les 20 cm d’épaisseur des cuisses donc il faut un passage libre de 70.
En fait, on est à 72 en dessous donc ça passe très bien.
Zone de préhension…
Valérie Darde : tout est accessible, le robinet : ça, ça marche !
François Lucas : c’est un plan de travail classique.
Il fait 60 cm.
Zone de préhension devant : 60.
On remet un petit coup de mètre.
Toujours le mètre à la main ; 60 très bien.
On va peut-être remarquer que ça peut sembler haut.
Valérie, si tu veux bien, on va faire une approche de la cuisinière donc là c’est bien décaissé sous le dessous donc hop c’est bon.
Noémie Aubert : Elle peut bien s’engager en dessous.
François Lucas : Allez Valérie, il faut réchauffer cette marmite, cette cocotte
Noémie Aubert : Valérie a peiné pour lever cette marmite bien lourde pour elle
Valérie Darde : Très lourde et trop haut.
François Lucas : Bien sur, vous avez complètement raison. Et la cocotte est vide.
Noémie Aubert : Et elle tend les bras.
François Lucas : Et elle est froide. Chaude et pleine pour quelques uns ce n’est pas possible.
Donc la on s’aperçoit que pour l’évier c’était haut, plus cette cuisinière : c’est un nouveau relief qui va créer une gêne.
En général, on privilégie une plaque vitro céramique qu’on encastre dans le plan de travail pour éviter cette hauteur.
Noémie Aubert : Comme fait le geste de Valérie, c’est pour glisser finalement l’objet sur la plaque.
François Lucas : Voilà, parce que là c’est nécessaire de soulever et de reposer donc ce n’est pas évident.
Noémie Aubert : Donc en vitro céramique, elle n’a qu’à prendre et glisser l’ustensile.
François Lucas : Donc là une plaque électrique, trois plaques gaz.
Valérie Darde : Donc, là on a des gros boutons
Noémie Aubert : Donc là tu vois des gros boutons et des petites pastilles
François Lucas : C’est pour les non-voyants, malvoyants.
Ça donne le repère de la position arrêt : c’est coupé.
Le gaz est coupé, le feu est coupé, l’électricité peut importe.
C’est une information tactile au niveau du doigt, plus une petite LED qui donne une information : attention il y a quelque chose sous tension ou d’allumer.
Donc là, ils ont favorisé l’emploi de bon gros boutons à l’ancienne.
C’est très bien.
Au niveau de la hotte,
Noémie Aubert : Le geste de Valérie suffit à comprendre que les boutons sont trop hauts pour elle.
François Lucas : Voilà, et comme maintenant tu connais le dimensionnel.
Donc rien au dessus de 1m30 et là on est a un peu plus de 1.60.
Alors, ce qu’on fait en général, on va déporter ce système de commande, ce petit bloc de commande et on va l’installer ici.
C’est un travail supplémentaire, néanmoins ça permet de commander l’éclairage de la hotte, différentes vitesses et autres.
On aurait peut-être associé une prise de courant parce que ça permet d’avoir un usage facile